Podemos dans le Jura

Après la victoire de Syrisa en Grèce...Podemos, la surprise venue d’Espagne !
Un appel d'air pour tous ceux qui résistent !

À la suite du vaste mouvement des Indignés qui a secoué l’État espagnol au printemps 2011 un nouveau rassemblement politique s’est imposé de manière foudroyante depuis 2013 à la gauche du parti socialiste.Quels sont ses premiers résultats ? Quels rapports entretient-il avec les différents courants de la gauche ? Comment fonctionne-t-il ? Pourquoi s’est-il si vite imposé pouvant prétendre même au pouvoir ? En quoi cela peut-il nous inspirer en France ? Ce sont à toutes ces questions que nous tenterons de répondre avec Miguel SEGUI co-fondateur du cercle Podemos Paris.

Réunion publique à Lons-Le-Saunier,
maison commune de la Marjorie (1025 rue des Gentianes)
vendredi 5 juin à 19 h 30  Entrée libre
puis Auberge espagnole : Amenez ce que vous voulez, nous partagerons vos petits plats, vos desserts, vos boissons...

Un bus contre les fermes usines et la répression syndicale

La Confédération paysanne de Franche-Comté organise un bus pour ce procès. 

Plusieurs points de ramassage envisagés, à ajuster en fonction des participants (Pontarlier, Rond-point d'Etalans, Besançon, Poligny, Dole, Dijon). Participation demandée, en fonction de vos possibilités.

Inscrivez-vous avant le 28 mai en appelant la confédération paysanne de Franche-Comté: 

03 81 26 05 97

Le programme s'annonce riche ! 

• prises de parole sur l'industrialisation de l'agriculture (1000 vaches mais aussi d'autres collectifs d'opposition à des projets de ferme usine),
• point sur le climat et sur le TAFTA,
• marche dans Amiens,
• concerts, 
• marché paysan...

Rq : vous ne pouvez pas vous déplacer ce jour-là ! Vous pouvez quand même participer au transport en envoyant un don à la confédération paysanne de Franche-Comté

Un procès pour quoi ? Le 12 septembre et le 28 mai, la Conf’ a pris ses responsabilités en stoppant, par des actions de démontage, ce qui n’était encore que le chantier de l’usine des 1000 vaches. Enquête scientifique, interpellations musclées, gardes à vue de 48h, ont conduit neuf militants devant la Justice le 28 octobre principalement pour dégradation en réunion et refus de prélèvement ADN. Ils ont été condamnés, après une petite heure de délibérations, à des peines allant jusqu’à 5 mois de prison avec sursis pour Laurent Pinatel, le porte-parole de la Conf’.